Dans l’après-midi du 1er février 1888, Guillaume Marzin se rend à la préfecture des Côtes-du-Nord. Il y dépose un brevet d’invention d’un nouveau hache-ajoncs et sarments de vigne pour la nourriture des bestiaux. La description de la machine est accompagnée de ce plan.
L’axe du tambour est muni de deux volants : l’un pour être mû à bras, l’autre à moteur.
Chaque année, l’association « la fête paysanne » de Combrit expose ce type de machine et réalise des démonstrations de son fonctionnement.
Et si vous vous intéressez aux bestiaux consommateurs d’ajoncs broyés, vous pouvez découvrir une vache de race régionale par ici.