Les Marie de nos familles

Hier, 29 août 2021, j’ai publié un article sur le prénom Médéric et comme depuis quelques semaines j’ai décidé qu’un article par semaine était une bonne moyenne, notre prochain rendez-vous devrait avoir lieu au plus tôt dimanche prochain.

Mais demain est un jour spécial et j’aurai une autre publication à faire.
Et puis non, je ne vais pas manquer le Généathème d’août 2021 sur les Marie, pas possible !
Et puis de Merry à Mary, il n’y a qu’un pas !
Alors vous me suivez ?

Commençons par quelques chiffres. En l’état de mes recherches :

  • 187 Marie parmi mes sosas, 180 dont c’est le premier prénom.
  •  30 Marie parmi les sosas de Monsieur, et 25 dont c’est le premier prénom.
  • 35 individus masculins qui s’appellent « un peu » Marie, entre les Louis Marie, Jean Marie, Charles Marie ou Guillaume Marie. Avec une majorité de bretons évidemment.
  • 654 personnes dont l’un des prénoms est Marie, toutes branches et collatéraux confondus.
  • 9,93% des individus, qui figurent dans mon fichier de généalogie, portent ce prénom, loin devant Jean (5,75%), pourtant le second prénom le plus courant.
  • 6 Marie parmi mes contemporaines.

STOP ! Assez de chiffres pour aujourd’hui !

Comme je ne vais pas vous détailler les Marie de mes branches au risque de vous perdre, je ne vais en retenir qu’une seule.
Aucun scrupule, soyons sobre.
Et puisque je travaille sur la famille PERRIN, vous savez celle qui a vécu « une autre épidémie », je vous présente :

Marie Louise Eulalie PERRIN, ma sosa 39, née le 2 mars 1811 à Trémilly.
La fille de Jean « Joseph », je vous parlerai de lui bientôt.
Elle passe à travers l’épidémie de choléra et épouse Félix REAUX le 20 novembre 1833.
Il a cinq ans de plus qu’elle, il est tuilier.
Le couple s’installe à Nully (Haute-Marne), puis à Bailly-aux-Forges. C’est là que Marie Louise Eulalie met au monde sa dernière fille Marie Berthe en 1822. Six frères et sœurs l’ont précédée dans la famille.
Marie Louise Eulalie s’éteint le 21 août 1884 à Bailly-aux-Forges, cinq ans après son mari. Si vous passez par-là, vous verrez encore leur sépulture le long de l’église.

Encore une surprise généalogique : au fil des actes et recensements cette aïeule est nommée Marie Louise Eulanie, mais quand elle s’installe à Bailly-aux-Forges, elle devient Marie Louise Eulalie PERRIN.

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