Tester la cartographie

L’an 2023 a déjà vingt jours et il est grand temps que je vous souhaite joies et réussites tout au fil des prochains mois.
Je n’ai pas l’habitude de prendre des résolutions, de programmer mes recherches généalogiques. Je vais à l’intuition vers les ancêtres qui se présentent, comme un oiseau qui sautille de branche en branche.

Mais cette année, comme la précédente, suivra le chemin entamé : terminer le diplôme universitaire d’histoire et généalogie familiale et devenir professionnelle.

Il est une unité de recherche que les étudiants du DU GENEFA de l’Université du Mans redoutent en cette période de l’année, la cartographie. Matière inconnue pour la plupart et outils complexes à appréhender, et puis surtout projet à remettre.
Mes camarades et moi-même avons travaillé dur ces dernières semaines, les résultats sont là pour tous, je vous le garantis.

Je n’aurais pas choisi de publier de carte entre ces lignes, en tout cas pas maintenant, mais le Geneathème mensuel m’y décide : je teste une nouvelle manière de partager la généalogie de Pierre Jézéquélou (1753-1807).

Et oui, voici notre Pierre et ses descendantes mis en carte, passés au crible de l’état-civil et des recensements combritois, leurs déplacements scrutés à la loupe, saisis de bases de données en feuilles de calcul, intégrés aux systèmes d’information géographique, posés, sans ménagement, sur des fonds de carte puis triturer dans des logiciels de dessin.

Et tout ça, pour en arriver là :

Avouez ! Le résultat est plus paisible que la démarche, non ?

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